Catégorie : Martyrs

  • 13- 30 martyrs massacrés le 28 novembre 1991

    13- 30 martyrs massacrés le 28 novembre 1991

    Dès le petit matin du 28 novembre 1991, un groupe de militaires s’empare des points stratégiques de la ville de Lomé et de la radio sur laquelle ils lisent des communiqués réclamant la dissolution des organes de la transition dont le Haut Conseil de la République, l’organe législatif de la transition démocratique, et la démission…

  • 12- 28 martyrs, morts noyés dans la Lagune de Bè, le 10 avril, repêchés le 11 avril 1991

    12- 28 martyrs, morts noyés dans la Lagune de Bè, le 10 avril, repêchés le 11 avril 1991

    Le 10 avril 1991, alors que le soulèvement populaire commencé le 5 octobre précédent s’est étendu à tout le Togo, le gouvernement d’EYADEMA décrète dans la capitale Lomé, un couvre-feu s’étendant de 19 heures à 6 heures du matin, couvre-feu annoncé sur les antennes de la Radio à 20H soit une heure après son entrée…

  • 11- 13 martyrs dans la répression sanglante de la marche des femmes, le 16 mars 1991

    11- 13 martyrs dans la répression sanglante de la marche des femmes, le 16 mars 1991

    Le 12 mars 1991, les étudiants se mettent en grève et appellent à une marche pacifique pour appuyer leurs revendications corporatives. EYADEMA fait déployer sur le campus universitaire les forces de l’ordre qui répriment sauvagement le mouvement en tuant 5 étudiants. Le vendredi 15 mars 1991, colère des femmes de Lomé. Elles descendent dans la…

  • 10 – Plusieurs dizaines de martyrs de la répression sanglante du 5 Octobre 1990

    10 – Plusieurs dizaines de martyrs de la répression sanglante du 5 Octobre 1990

    A la mi-août de l’année 1990 au Togo, une vague d’arrestations frappe des militants et de jeunes étudiants proches de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA), un parti politique clandestin qui a fait parler de lui l’année d’avant avec l’arrestation, en Côte d’Ivoire, de ses militants, accusés de convoyer à destination du Togo, «…

  • 9- Serge Atchalimondom GNASSINGBE 

    9- Serge Atchalimondom GNASSINGBE 

    L’assassinat de Serge Atchalimondom GNASSINGBE, fils de Gnassingbé EYADEMA et de l’une de ses épouses, Hubertine BADAGNAKI, est survenu comme une conséquence différée de cet autre assassinat, celui de son oncle Gaston Charles GNEHOU, officier de l’armée togolaise, grand-frère de sa mère Hubertine, donc beau-frère d’EYADEMA.

  • 8- 109 prisonniers martyrs

    8- 109 prisonniers martyrs

    Créé en 1987, le camp d’Agombio, à côté de la localité de Kazaboua, a été conçu au départ comme un « Centre de Réinsertion sociale » destiné à accueillir les récidivistes de droit commun pour qu’ils y apprennent un métier en vue de leur réintégration dans la vie sociale. Mais il est devenu un véritable camp de…

  • 7- Omer Aka ADOTE

    7- Omer Aka ADOTE

    Ingénieur des chemins de fer à la retraite, âgé de 60 ans, il est été arrêté, avec 14 autres personnes, aux mois d’août et de septembre, pour détention de documents critiquant le régime et avaient été inculpés, à ce titre, d’outrages envers les représentants de l’autorité publique. Affreusement torturés, nombre d’entre eux, dont Emmanuel Yema…

  • 6- Le Colonel Koffi Rainhill KONGO

    6- Le Colonel Koffi Rainhill KONGO

    Inspecteur Général des Forces armées togolaises (FAT), cet officier de l’armée togolaise qui n’avait que 49 ans, aurait échappé, à plusieurs reprises, à des tentatives d’assassinat. EYADEMA ayant l’habitude de le convoquer tard le soir, précautionneux, il se faisait toujours accompagner par un autre militaire ou dignitaire du régime pour ne pas se faire mitrailler,…

  • 5- Antoine Idrissou MEATCHI

    5- Antoine Idrissou MEATCHI

    21 ans, 2 mois après l’assassinat de Sylvanus OLYMPIO lors du putsch du 13 janvier 1963 au Togo, survient l’assassinat en détention d’Antoine Idrissou MEATCHI, ancien vice-président du gouvernement installé au pouvoir suite à ce putsch.

  • 4- Dr Abou Kérim Boukari

    4- Dr Abou Kérim Boukari

    15 ans 11 mois après l’assassinat de Sylvanus OLYMPIO, survient l’assassinat, des suites de ses mauvaises conditions de détention, du Dr Abou Kérim Boukari.