Auteur/autrice : sylvanus
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17- Plus de 150 martyrs massacrés à Fréau Jardin le 25 janvier
Les massacres du mois de janvier 1993 sont à considérer comme l’une des plus graves tragédies dans toute l’histoire de la répression des mouvements populaires au Togo.
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16- Tavio Ayawo Tobias AMORIN
En ce mois fatidique de juillet 1992, Tavio Ayawo Tobias AMORIN est le Premier secrétaire du Parti socialiste panafricain (PSP), membre fondateur du Mouvement patriotique du 5 octobre (MO5), Secrétaire général du COD II, membre du Haut conseil de la République (HCR), organe transitoire issu de la Conférence nationale souveraine de juillet – août 1991…
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15- Les 4 martyrs lâchement assassinés dans l’attentat de Soudou, le 5 mai 1992
Alors que la dictature s’est réinstallée depuis le coup d’Etat du 3 décembre 1991 contre les institutions de la transition auxquelles il met fin dans sa version originelle telle qu’instaurée par la Conférence nationale souveraine, l’année 1992 commence et se poursuit dans un climat délétère qui n’augure de rien de bon.
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14- Plusieurs dizaines de martyrs sur les 400 morts, assassinés dans l’assaut sur la Primature, le 3 décembre 1991
Le carnage se poursuit le 3 décembre 1991, lorsque les militaires donnent l’assaut à la résidence du Premier Ministre en défonçant le portail avec des chars.
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13- 30 martyrs massacrés le 28 novembre 1991
Dès le petit matin du 28 novembre 1991, un groupe de militaires s’empare des points stratégiques de la ville de Lomé et de la radio sur laquelle ils lisent des communiqués réclamant la dissolution des organes de la transition dont le Haut Conseil de la République, l’organe législatif de la transition démocratique, et la démission…
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12- 28 martyrs, morts noyés dans la Lagune de Bè, le 10 avril, repêchés le 11 avril 1991
Le 10 avril 1991, alors que le soulèvement populaire commencé le 5 octobre précédent s’est étendu à tout le Togo, le gouvernement d’EYADEMA décrète dans la capitale Lomé, un couvre-feu s’étendant de 19 heures à 6 heures du matin, couvre-feu annoncé sur les antennes de la Radio à 20H soit une heure après son entrée…
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11- 13 martyrs dans la répression sanglante de la marche des femmes, le 16 mars 1991
Le 12 mars 1991, les étudiants se mettent en grève et appellent à une marche pacifique pour appuyer leurs revendications corporatives. EYADEMA fait déployer sur le campus universitaire les forces de l’ordre qui répriment sauvagement le mouvement en tuant 5 étudiants. Le vendredi 15 mars 1991, colère des femmes de Lomé. Elles descendent dans la…
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10 – Plusieurs dizaines de martyrs de la répression sanglante du 5 Octobre 1990
A la mi-août de l’année 1990 au Togo, une vague d’arrestations frappe des militants et de jeunes étudiants proches de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA), un parti politique clandestin qui a fait parler de lui l’année d’avant avec l’arrestation, en Côte d’Ivoire, de ses militants, accusés de convoyer à destination du Togo, «…
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9- Serge Atchalimondom GNASSINGBE
L’assassinat de Serge Atchalimondom GNASSINGBE, fils de Gnassingbé EYADEMA et de l’une de ses épouses, Hubertine BADAGNAKI, est survenu comme une conséquence différée de cet autre assassinat, celui de son oncle Gaston Charles GNEHOU, officier de l’armée togolaise, grand-frère de sa mère Hubertine, donc beau-frère d’EYADEMA.
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8- 109 prisonniers martyrs
Créé en 1987, le camp d’Agombio, à côté de la localité de Kazaboua, a été conçu au départ comme un « Centre de Réinsertion sociale » destiné à accueillir les récidivistes de droit commun pour qu’ils y apprennent un métier en vue de leur réintégration dans la vie sociale. Mais il est devenu un véritable camp de…
